site Web de Gilbert Jaccon,
amateur de randonnées cyclistes
UN ZIG ET UN ZAG EN DIAGONALES
Diagonales HS et SB - mai / juin 1998
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PRESENTATION
Et la chasse aux Diagonales, continue en 1998 avec Hendaye-Strasbourg,
la Neuvième Symphonie
de Jean-Pierre, le Chef
bien évidemment entouré de ses habituels compagnons de route Bernard et Gilbert, les Beaunois ainsi que Pierrot, la Luciole montpelliéraine
Gilbert en rajoute une couche entre Strasbourg et Brest en tête-à tête avec
Georges MAHE, le Breton
qui s'était juré il y a quinze ans
de revenir sur sa terre natale en Diagonale depuis Strasbourg !
Promesse tenue !
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Récit complet
(12 pages - 715 ko)
Textes de Jean-Pierre pour HS et de Georges pour SB
Bernard, Pierrot, Jean-Pierre et Gilbert au départ, à Hendaye
le 28 mai 1998
Georges et Gilbert au départ, à Sizun (Finistère)
le 6 juin 1998
EXTRAITS
L'hôtel Santiago d'Hendaye abrite notre veillée d'armes. Nous paraissons détendus et sereins, mais n'est-ce-pas qu'une apparence de façade, car tout diagonaliste sait par expérience qu'une Diagonale n'est jamais réussie d'avance, tant les facteurs entrant en jeu sont multiples et divers...
A Strabourg, nos parents et amis nous attendent. Rien que des visages familiers et aimés. Toutefois nos traits fatigués témoignent de la difficulté de cette Diagonale, que nous avons jugée à l'unisson très difficile au niveau du relief.
Jean-Pierre RATABOUIL
Le souhait de mon père, lorsqu'il vivait à la maison de retraite de Carhaix, était d'avoir le plaisir de me voir passer sous sa fenêtre au terme d'une Diagonale : c'est ainsi que j'avais été amené à lui promettre que je tenterais un jour la Diagonale Strasbourg-Brest en terminant par le centre de la Bretagne.
Après deux échecs successifs, je m'étais résigné à ne pouvoir jamais réussir... lorsque Gilbert est revenu à Beaune...
C'est toujours une immense joie et une forte émotion que de terminer une Diagonale dans le délai. Mais cette fois, pour avoir pu honorer une promesse faite il y a plus de 15 ans, ma joie et mon émotion étaient encore plus intenses.
Georges MAHE